DISCOURS D'ALEXANDRE PISSAS
Madame la Préfète, Chers Collègues élus, Mesdames et Messieurs les représentants des autorités civiles et militaires, et surtout vous tous Chers amis, sapeurs-pompiers professionnels, sapeurs-pompiers volontaires, gradés ou non gradés,
C'est un honneur pour moi, mais surtout doublé d'une très grande joie que de vous retrouver après deux ans et demi pour cette journée nationale des sapeurs-pompiers à laquelle je participe avec émotion depuis treize ans. Car on sait que les sapeurs-pompiers professionnels ou volontaires exécutent leurs missions au péril de leur vie.
Au nom de tout le conseil d'administration et de toutes les collectivités territoriales gardoises qui permettent à notre SDIS de remplir ses missions au premier rang desquels le Conseil départemental, je voudrais vous rappeler que dans le Gard, 3500 sapeurs-pompiers et 160 personnels administratifs et techniques sont à la tâche de façon régulière.
Inutile de rappeler ici les derniers évènements de septembre car à la vérité les mois de septembre se suivent et se ressemblent.
Nous avons remis il y a quelques minutes les casques aux nouveaux sapeurs-pompiers volontaires. C'est une cérémonie qui a été initiée il y a quelques années sur ma demande. J'ai en effet sollicité le prédécesseur du Colonel LANGLAIS, le contrôleur général Christian SIMONET, afin de mettre en œuvre celle-ci. Car le volontariat, n'en déplaise à l'Union Européenne, représente la pierre angulaire du modèle de sécurité civile de notre République.
Enfin, il me parvient de plus en plus une petite musique qui devient très agréable et qui est relayée par les médias depuis quelques semaines : les enfants, les jeunes, les adolescents, les étudiants veulent être « sapeur-pompier ». Plus de 30% des jeunes interrogés l'affirment.
C'est une satisfaction, c'est une fierté pour nous, nous attachés à cette glorieuse mission de service public, service public qui est au cœur de la politique du département du Gard.
Dr A. PISSAS
Publication : Service audiovisuel Com Sdis 30